Au cours des 30 dernières années, la pauvreté dans le monde a fortement chuté, passant d’environ 40 pour cent à moins de 20 pour cent, bien que cette baisse ait à peine été ressentie en Afrique.
Les pays africains n’ont pas connu de réduction substantielle de leurs niveaux de pauvreté, bien que des investissements chinois massifs sur le continent s’efforcent de changer cela.
Le gouvernement chinois et diverses entreprises privées chinoises ont financé divers projets d’infrastructure en Afrique, offrant de nombreuses opportunités d’emploi aux habitants.
Certains des projets que la Chine a lancés en Afrique comprennent le port de Bagamoyo en Tanzanie, qui deviendra le plus grand port d’Afrique capable de traiter 20 millions de conteneurs par an, la nouvelle ville de Modderfontein en Afrique du Sud, le chemin de fer côtier Lagos-Calabar au Nigeria et le chemin de fer à voie standard du Kenya, parmi de nombreuse suite.
Plus tôt cette semaine, Li Dongning de CGTN a rencontré le président de la Commission de l’Union africaine Moussa Faki Mahamat en Éthiopie pour discuter des effets des projets chinois.
Elle a commencé par lui demander quels domaines, selon lui, ont le plus besoin d’investissements chinois.
